Tourisme
Le pêcheur, Tom Thomson, Art Gallery of Alberta, 68.6.84, Huile sur toile, 51,3 x 56,5 cm. Don de la Fondation Ernest E. Poole, 1975
Lorsqu’il est question de parcs, plusieurs d’entre nous pensons qu’il s’agit d’espaces principalement consacrés à la villégiature, à la détente et au tourisme. Le parc Algonquin attirait des visiteurs d’un peu partout qui venaient de loin pour pratiquer une surprenante variété d’activités et jouir de nombreux bienfaits. Ces visiteurs, qui avaient des besoins en matière d’hébergement, de nourriture, de guides expérimentés et de sécurité, ont contribué au façonnement de la communauté et au développement des entreprises au sein du parc.
Alors que Thomson était lui-même un touriste dans le parc et qu’il y séjournait pour en peindre les paysages, il y a souvent trouvé du travail, aidant à satisfaire les besoins des autres visiteurs. Ces derniers formaient en grande partie son cercle social lors de ses séjours dans le parc. Savoir qui Thomson côtoyait dans le parc, et pourquoi ces gens s’y trouvaient, peut vous aider à comprendre comment il est mort.
Chapitres de livres
- Joseph Adams, « Chapitre 4 », extrait du livre Dix mille milles à travers le Canada, Ten Thousand Miles Through Canada: The Natural Resources, Commercial Industries, Fish and Game, Sports and Pastimes of the Great Dominion, 1912
- Ottelyn Addison, « Auberges et campements dans la nature sauvage », Early Days In Algonquin Park, 1974