La mélancolie, avec référence particulière à ses caractéristiques dans le Cumberland et le Westmorland
[…]Un cas de mélancolie, qui au sein des classes supérieures et moyennes, serait sans doute traité à la maison tout au long de sa progression, serait, s’il se déclarait dans une famille des classes ouvrières, envoyé à l’asile dès que l’individu serait devenu trop affecté pour continuer à occuper son métier.[…]Dans les cas un tant soit peu appropriés au traitement à la maison, il est toujours recommandé, dans l’intérêt de tous, de garder les patients hors de l’asile, et cela, afin d’éviter les stigmates, aussi injustes soient-elles, que portent ceux qui y ont séjourné, ou dont un proche y a été soigné.
Source: W. F. Farquharson, "La mélancolie, avec référence particulière à ses caractéristiques dans le Cumberland et le Westmorland," The Lancet (21 septembre 1895): 725