HOMICIDE INCONSCIENT.
[...] Il est un fait bien connu qu’un homicide peut être commis dans un état somnambulique ou épileptique, au moment où la conscience normale de l’individu est entièrement ou partiellement suspendue. De tels actes sont invariablement accompagnés d’amnésie; sont habituellement dénués de mobile; et leur nature, si extrêmement impulsive, suggère presque immanquablement une origine réflexe. Les circonstances connexes et la conduite subséquente de la personne constituent habituellement des preuves tangibles que sa conscience usuelle était momentanément obscurcie, voire totalement oblitérée.
Source: Charles P. Bancroft, "HOMICIDE INCONSCIENT.," American Journal of Insanity 55 (31 octobre 1898): 264